Si le protocole sanitaire applicable à partir de ce lundi reprend pour l’essentiel les règles déjà en vigueur (voir articles précédents), deux changements importants surviennent néanmoins :
Le protocole prévoit à présent la fermeture d’une classe dès qu’un cas de covid est avéré, quel que soit le variant, et désormais sur tout le territoire national.
Tant que la crise sanitaire subsiste, les élèves sans enseignant ne doivent pas être répartis dans les autres classes de leur école.Si l’enseignant absent peut être remplacé, cela ne posera pas de problème. En revanche, si le remplacement ne peut être assuré, les élèves de la classe concernée ne pourront pas être accueillis à l’école.
Ce deuxième point renforce la règle de non brassage des groupes déjà en vigueur.
Nous attirons une nouvelle fois votre attention sur la nécessité pour les familles de contrôler la température de leur enfant et de ne pas envoyer ce dernier à l’école si la fièvre atteint ou dépasse 38°C. Donner un doliprane à son enfant avant la classe ne peut pas être une option, la responsabilité des responsables légaux est pleinement engagée.
Enfin, je vous rappelle qu’une campagne de tests salivaires sera organisée à l’école le vendredi 30 avril. Pour que votre enfant puisse en bénéficier, je vous renvoie aux détails qui vous ont été donnés avant les vacances :
Le vendredi 30 avril à partir de 9 h, une campagne de tests salivaires sera organisée dans l’école par la cellule COVID-19 de la direction des services départementaux de l’Éducation Nationale. C’est le laboratoire Bio 17 qui sera chargé de sa réalisation.
Ces tests sont proposés aux familles et aux personnels sur la base du volontariat. Les tests salivaires sont gratuits pour les élèves. Ces derniers se font en présence des personnels du laboratoire et d’un ou deux personnels de santé de l’Éducation nationale. La confidentialité des informations personnelles est assurée.
Les résultats seront communiqués sous 24 heures.
Afin de pouvoir intervenir, les laboratoires doivent disposer de différents documents que vous pouvez d’ores et déjà télécharger, imprimer et compléter pour les rapporter le lundi matin 26 avril (ils seront remis sous forme papier aux élèves dont les familles ne l’auront pas imprimé) :
Ces documents sont à me retourner au plus tard 48 heures avant l’intervention du laboratoire, c’est à dire le mercredi 28 avril, en rentrant en classe. Le laboratoire se rendra à l’école pour les collecter le même jour en fin de matinée.
Pour tout complément d’information, je reste à votre écoute.
Hier soir, le Président de la République a annoncé la fermeture des écoles la semaine prochaine, puis le basculement en vacances scolaires de tous les écoliers, quelle que soit leur zone, du 9 avril au soir au 26 avril au matin. L’école « en présentiel » devrait reprendre à ce moment-là.
Nous allons donc basculer sur de l’enseignement à distance durant la semaine prochaine (à partir de mardi). Les modalités de fonctionnement de cet enseignement à distance vous seront données par l’enseignant(e) de votre enfant dans les prochaines heures via la messagerie professionnelle de chacun d’entre nous.
En ce qui concerne l’accueil des enfants à l’école dont les parents exercent certaines professions, des informations plus précises viennent d’être transmises ce soir par l’Inspectrice de l’Éducation Nationale après les réunions de travail de cet après-midi.
Élèves accueillis: ceux dont les deux parents exercent des métiers indispensables à la gestion de la crise sanitaire : Professionnels considérés comme indispensables : ceux exerçant dans la santé (secteur public et libéral), ceux réalisant le dépistage et la vaccination COVID , ceux du secteur socio-médical, aide sociale à l’enfance, PMI, enseignants, assistante maternelle (si elles accueillent des enfants prioritaires), agents des collectivités locales, forces de sécurité (policier, militaire, pompier).
Le but n’est pas d’accueillir des groupes importants car sinon rien ne servirait de fermer les écoles. Ce service n’est donc à utiliser qu’en dernier recours, une fois que toutes les autres possibilités pour garder les enfants auront été explorées. Cela d’autant plus que le groupe scolaire Jonchery pourrait servir la semaine prochaine de pôle d’accueil des enfants scolarisés sur Châtelaillon et dont les parents exercent les professions concernées.
Si vous êtes intéressés et concernés par cet accueil, vous pouvez m’adresser un courriel (elementaire.jonchery@laposte.net) jusqu’à dimanche soir (minuit) en me précisant les jours où vous souhaitez en bénéficier et en me joignant :
l’attestation sur l’honneur à télécharger ci-dessous, à compléter et à signer par chacun des responsables légaux ;(mise à jour du 2 avril)
un justificatif attestant de l’appartenance à une catégorie prioritaire (carte professionnelle, attestation de l’employeur…) de chacun des responsables légaux ;
S’agissant des enfants identifiés comme cas contact ou dont la classe a été fermée du fait du Covid au cours de la semaine écoulée, ils ne seront admis que sur présentation d’une attestation de réalisation d’un test dans les 72 heures précédant le premier jour d’accueil. (mise à jour du 2 avril)
D’autres informations générales pourront vous parvenir au fur et à mesure si elles complètent ou modifient les dispositions existantes.
Je vous remercie et vous prie d’agréer l’expression de mes meilleures salutations.
Voici quelques informations concernant les opérations de passage en 6ème pour la rentrée prochaine :
Une première fiche dite « volet 1« , nominative et comportant les informations dont nous disposons sur votre enfant vous sera transmise la semaine prochaine. Il faudra simplement vérifier les informations y figurant. Votre adresse postale déterminera le collège de secteur. Ce volet 1 sera à retourner à l’école rapidement.
Très vite ensuite, un « volet 2 » vous sera remis. Il s’agira d’indiquer si vous êtes d’accord pour que votre enfant intègre, en cas de passage en 6ème, son collège de secteur à la rentrée prochaine. Dans le cas contraire, vous devrez faire une demande de dérogation si vous souhaitez l’inscrire dans un autre collège publique. Pour une inscription dans le privé, aucune démarche particulière n’est à faire. On vous demandera également d’indiquer la langue vivante choisie (par exemple : anglais ou anglais + allemand).
A ce jour, aucune visite du collège n’est prévue. Si des changements apparaissent, vous en serez bien évidemment informés.
Le mercredi 28 avril, une intervention des bus « Yélo » est prévue sur le bon usage des transports en commun. Nous remettrons dans les prochains jours à votre enfant une demande de carte de transport. Il vous suffira, si cela est nécessaire, de la compléter, de fournir les pièces demandées et de retourner le tout à l’école. Les agents de yélo remettront alors le 28 avril sa carte de transport pour l’année prochaine à votre enfant.
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à me solliciter.
Face aux variants du Covid-19, le gouvernement a souhaité éviter un reconfinement ainsi que la fermeture des écoles. Néanmoins, un nouveau protocole sanitaire est mis en place dans les établissements scolaires.
Plus que jamais, les parents doivent s’assurer que leur enfant qui vient à l’école n’a pas de fièvre (inférieure à 38°C) ou de symptôme évocateur du COVID 19. Dans le cas contraire, ils doivent consulter un médecin qui décidera ou non de la nécessité d’un test.
Alors qu’une classe pouvait fermer à partir de trois cas de Covid-19, il suffira désormais d’un seul cas de variant anglais, qu’il s’agisse d’un élève ou même d’un professeur. S’il ne s’agit pas du variant anglais, la règle des 3 cas avérés pour que la classe ferme reste en vigueur.
Dans les classes, l’aération devra avoir lieu toutes les heures, pendant plusieurs minutes, au lieu de toutes les deux heures.
Le port du masque « grand public » de catégorie 1 est désormais obligatoire. Afin que les familles puissent acquérir de nouveaux masques respectant ces exigences, un délai est accordé jusqu’au 8 février 2021.
Nous remercions les parents de bien vérifier sur l’emballage que le masque qu’ils remettent chaque matin à leur enfant est bien de catégorie 1. Le port des masques artisanaux, faits-maison, etc… ne sera plus possible à compter du retour des vacances d’hiver, le lundi 22 février.
Ces aménagements ne bouleversent pas
l’organisation appliquée du 9 au 27 novembre.
Un seul point est modifié :
le temps d’accueil des élèves de 13 h 40 à 13 h 50.
Accueil dans la cour de 13 h
40 à 13 h 50 :
– Les deux classes qui déjeunent à
la cantine de 13 h à 13 h 30, celle de CM1/CM2 (Mme LACROIX) et
celle de CM2 (M. HEBERT et Mme LAFITTE) resteront dans la cour de 13
h 40 à 13 h 50.
– L’espace de la cour étant partagé
en 3 zones pour éviter le brassage des groupes, la dernière zone
sera occupée par la classe de CE2 (Mme BULET) les lundis et mardis,
et celle de Mme LEFEVRE (CP) les jeudis et vendredis.
Accueil dans les salles de classe
de 13 h 40 à 13 h 50 :
– Les groupes de CE1 (Mme LEPRÊTRE),
et de CE2/CM1 (Mme DELAVEAU) continueront à être accueillis dans
leurs salles de classe.
– La classe de CP (Mme LEFEVRE) sera accueillie dans sa salle les lundis et mardis et celle de CE2 (Mme BULET) les jeudis et vendredis.
Pour prendre connaissance du planning complet d’occupation de la cour pendant le temps scolaire du 30 novembre au 18 décembre, merci d’ouvrir les documents ci-dessous :
François
ECOSSE, mon arrière-arrière-grand-père, a eu deux filles, Elise et
Léonie, dont l’une est mon arrière-grand-mère. Il est né le 25
mai 1873 à Mussey-sur-Marne, il habitait à Paris dans le 11ème
arrondissement, rue du marche Popincourt. Il était employé aux
Halles de Paris.
Il
est décédé le 14 avril 1916, il avait 42 ans. François a été
blessé dans les bois d’Hermenont, puis il est décédé de ses
blessures à l’hôpital de Verdun.
Il
faisait partie du 48ème régiment d’infanterie. On lui a dit « tu
y vas ou on te tranche la tête ! » Il y est allé et il
s’est fait tuer. La famille de François ECOSSE a reçu, 2 mois
après, la lettre disant qu’il était mort.
Texte écrit par Timeo CACCIOTOLO
François ECOSSE
Omer
RICHARD
Je
veux vous présenter mon arrière-arrière-grand-père, il s’appelait
Omer RICHARD. Il est né le 7 septembre 1887 à Largeasse, dans les
Deux-Sèvres. Ses parents s’appelaient Théodore et Florentine Il
s’est marié le 11 mai 1907 à Rochefort avec Louise QUERE. Son
métier était boulanger. Il a eu deux filles ; l’une s’appelait
Antoinette, l’autre est morte à 4 ans d’une maladie infantile.
En
1914, à 27 ans, il est parti à la guerre comme brancardier. Il
était le numéro 18. Il n’est pas mort durant les combats.
Omer
RICHARD est revenu de la guerre, il n’a pas fait la deuxième.
Quelques années plus tard, il est mort le 5 août 1954 à Rochefort.
Texte écrit par Elsa CAMPION
Omer RICHARD
Emile
FOUSSIER
Emile
FOUSSIER, l’arrière-arrière-grand-père de Timeo, est né le 11 mai
1875 à Malicorne-sur-Sarthe. Il faisait partie du 28ème régiment
de la 1ère compagnie du Mans en octobre 1915. En 1916, il faisait
partie du régiment d’artillerie semi-automobile.
Il
habitait à Paris, dans le 11ème arrondissement, au 7 rue Pichet. Il
était commerçant et il tenait une épicerie qui faisait l’angle
avec la rue du marché Popincourt. Emile a eu une fille, Alice, et un
garçon, Roger, donc l’arrière-grand-père de Timeo.
Emile
FOUSSIER est décédé le 6 février 1922, il avait 47 ans. Il a été
foudroyé dans un champ, sur la nationale 20, à
Boissy-sous-Saint-Yon.
Texte écrit par Victor THOMAS
Emile FOUSSIER
Georges
LERISSON
Mon
arrière-arrière-grand-père est né en 1892 à Roubaix. Il était
dans l’infanterie. Georges est parti à la guerre en août 1914 et a
été libéré en juillet 1919.
Il
a reçu la médaille de la victoire, la médaille des Poilus d’Orient
et a noté sur des petits carnets sa vie dans les tranchées, depuis
la bataille de la Marne à la guerre d’Orient et son débarquement à
Salonique.
En
décembre 1914, il raconte le lendemain d’une attaque à la
mitrailleuse et à la baïonnette : « Tout le monde
tombe autour de moi, je ne sais comment j’ai pu m’en sortir… Que
va-t-il maintenant nous arriver ? On s’attend à tout car on ne
verra jamais quelque chose de plus terrible. Quel gâchis ! »
Il
souffre de la faim, du froid et de la pluie qui pourrit tout. Il
attrape des maladies comme la malaria.
Georges
fera plusieurs métiers : cuisinier, chauffeur, infirmier,
téléphoniste. Il jouait du violon.
Texte écrit par Eva SULI
Georges LERISSON
Jehan
DE LA CROIX
C’était
mon arrière-arrière-grand-oncle. Il est né le 16 juin1876 en
Charente, à Angoulême. Il avait cinq frères et une sœur. Il s’est
marié avec Antoinette de CASSE-BRISSAC et a eu deux enfants,
Marguerite et François.
Jehan
était capitaine au 11ème régiment d’infanterie. Il est mort à la
guerre, à Ypres, en 1914, à 38 ans, lors d’un repérage de
l’ennemi. Il était sous-officier.
Texte écrit par Clara O’Connor
Jehan DE LA CROIX
Auguste
LAUNAY
J’ai
l’immense honneur de vous présenter mon arrière-arrière-grand-oncle.
Sur cinq aïeux qui sont allés à la guerre, seulement deux sont
revenus.
Il
s’appelait Auguste, Alphonse, Emile LAUNAY. Il est né le 18 décembre
1895 à Flamanville dans le département de la Manche. Il était
électricien et mesurait 1 m 67.
Auguste
a été incorporé dans un régiment d’infanterie le 19 décembre
1914. Arrivé au corps, il a été soldat de 2ème classe. Il a été
blessé au bras gauche le 13 avril 1916 d’un éclat de grenade. Il
est parti le 25 juin 1916 à l’hôpital et il est revenu le 11 août.
Il a ensuite été nommé caporal le 25 juillet 1917. Mon
arrière-arrière-grand-oncle a eu son certificat de bonne conduite.
Le
23 avril 1918, il a été père de deux enfants.
A
la fin de la guerre, il a été chef d’atelier téléphonique,
toujours en tête de son équipe, réparant les lignes sous n’importe
quel bombardement. Le 23 octobre 1918, sous le feu des obus, il a
construit et entretenu une ligne coupée par un tir incessant.
Après
la guerre, il a décidé de devenir gardien de la Paix.
Texte écrit par Islana TOP
Auguste LAUNAY (2ème, en haut, en partant de la gauche)
René
FUMERON
Mon
arrière-arrière-grand-père, René FUMERON, a fait la guerre de
14-18 dans les sous-marins. Il a participé à la campagne des
Dardanelles, sous les ordres de l’amiral GUEPRATTE. La bataille des
Dardanelles était une bataille livrée par l’Angleterre et la France
contre l’empire Ottoman (Turquie) perdue par les alliés en 1916.
La
future femme de René FUMERON, mon arrière-arrière-grand-mère
Alice, a travaillé pendant la guerre à la poudrerie du Ripeau près
de Tours. Ils se sont mariés en 1916. René FUMERON a vécu 91 ans,
et Alice 89 ans.
Texte écrit par Juliette RODOT-BUFFETEAU
René et Alice FUMERON, en 1965
Charles
Alix Ernest LOUVENT
Mon
arrière-arrière-grand-père, Charles Alix Ernest LOUVENT, est né
en 1879. Il a commencé la guerre en 1914. Il a fait la bataille de
Verdun et de la Marne. Il était au 333ème régiment d’infanterie
dans les Vosges.
Il
a été deux fois gazé et plusieurs fois enseveli à cause des
bombardements. Il se battait avec une baïonnette au fort de Beaux.
Charles a eu trois médailles, il a été marqué par la guerre.
Mon
arrière-arrière-grand-père avait quatre frères dont deux ont été
tués à la guerre. L’un a été handicapé à 75 % et le dernier a
été gravement blessé. Charles a fini la guerre en 1919, il est
mort en 1959 à 79 ans. Il était fier d’avoir fait la guerre.
Texte écrit par Noélie MEUNIER
Charles Alix Ernest LOUVENT
Joseph
TEREAU
Mon aïeul s’appelait Joseph TEREAU. C’était l’oncle de mon arrière-grand-mère paternelle.
Il
appartenait au 6ème régiment d’infanterie. Au retour de la guerre,
Joseph TEREAU et son épouse ont élevé mon arrière-grand-mère
paternelle dont la mère est décédée de la grippe espagnole en
1918.
Texte écrit par Armand GOUDEAU
Joseph TEREAU (2ème rang, 1er en partant de la gauche)
Georges
GARDOUX
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. J’ai récupéré un casque
d’aviateur qui lui a appartenu ; il a été dans l’escadrille C
11.
Georges
est revenu vivant de la guerre, il est rentré dans les chemins de
fer et a conduit des locomotives à vapeur. Il s’est marié et a eu
deux enfants, un garçon qui s’appelait Henri et une fille, Yvette.
Texte écrit par Inès LEMAIRE
Arthur
François OLIVIER
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. Il est né en 1895 et a commencé
la guerre à 19 ans. Il était dans le 73ème régiment d’Infanterie.
Mon aïeul a reçu des récompenses car il était très courageux, et
il a redonné le moral aux autres soldats.
Arthur
avait une fille, Alix.
Texte écrit par Inès DURENQUE
Basile
Louis Marie MOISAN
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Basile Louis Marie MOISAN.
Son numéro était le 13-67. Il est né le 11 juin 1879 à
Pleugriffet, dans le Morbihan. Il était menuisier et savait lire,
écrire, compter.
Il
a été affecté au 89ème régiment total d’infanterie et rappelé à
l’activité par la mobilisation générale du 1er août 1914. Il est
arrivé au corps le 14 août, a été fait prisonnier à Maubeuge le
7 septembre 1914 et rapatrié le 12 décembre 1918.
Basile
a été démobilisé le 18 février 1919, il s’est retiré à
Pleugriffet.
Texte écrit par Oscar MOISAN
Michel
LACAUD
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Michel LACAUD. Il est né le
3 août 1896 à Chalus, dans la Haute-Vienne. Il était agriculteur.
Michel avait les cheveux blonds, les yeux gris-verts, le front
vertical, un visage long. Il mesurait 1 m 59.
Michel
LACAUD fut incorporé le 10 avril 1915 au 83ème régiment
d’infanterie, il combattit dans les Balkans. Il fut libéré le 21
septembre 1919.
Il
reçut plusieurs décorations pour services rendus à la nation. Il a
eu la médaille commémorative, la médaille de la victoire et la
croix du combattant.
A
sa libération, il reprit son métier d’agriculteur. Mais
régulièrement, tous les 5 ans, il dut faire des périodes
militaires de 21 jours.
Texte écrit par Léon LACAUD
la carte de combattant de Michel LACAUD
Alphonse
MARTIN
Il
s’appelait Alphonse MARTIN, c’était mon arrière-arrière-grand-père.
Il est né le 4 juillet 1883 à Saint-Sulpice-d’Arnoult. Alphonse est
mort en 1954.
Il
a été blessé et réformé car il avait des crises d’asthme après
avoir été victime du gaz moutarde.
Alphonse
a eu deux enfants qui s’appelaient Gilbert et Hélène. Ils sont
toujours en vie.