Ces aménagements ne bouleversent pas
l’organisation appliquée du 9 au 27 novembre.
Un seul point est modifié :
le temps d’accueil des élèves de 13 h 40 à 13 h 50.
Accueil dans la cour de 13 h
40 à 13 h 50 :
– Les deux classes qui déjeunent à
la cantine de 13 h à 13 h 30, celle de CM1/CM2 (Mme LACROIX) et
celle de CM2 (M. HEBERT et Mme LAFITTE) resteront dans la cour de 13
h 40 à 13 h 50.
– L’espace de la cour étant partagé
en 3 zones pour éviter le brassage des groupes, la dernière zone
sera occupée par la classe de CE2 (Mme BULET) les lundis et mardis,
et celle de Mme LEFEVRE (CP) les jeudis et vendredis.
Accueil dans les salles de classe
de 13 h 40 à 13 h 50 :
– Les groupes de CE1 (Mme LEPRÊTRE),
et de CE2/CM1 (Mme DELAVEAU) continueront à être accueillis dans
leurs salles de classe.
– La classe de CP (Mme LEFEVRE) sera accueillie dans sa salle les lundis et mardis et celle de CE2 (Mme BULET) les jeudis et vendredis.
Pour prendre connaissance du planning complet d’occupation de la cour pendant le temps scolaire du 30 novembre au 18 décembre, merci d’ouvrir les documents ci-dessous :
François
ECOSSE, mon arrière-arrière-grand-père, a eu deux filles, Elise et
Léonie, dont l’une est mon arrière-grand-mère. Il est né le 25
mai 1873 à Mussey-sur-Marne, il habitait à Paris dans le 11ème
arrondissement, rue du marche Popincourt. Il était employé aux
Halles de Paris.
Il
est décédé le 14 avril 1916, il avait 42 ans. François a été
blessé dans les bois d’Hermenont, puis il est décédé de ses
blessures à l’hôpital de Verdun.
Il
faisait partie du 48ème régiment d’infanterie. On lui a dit « tu
y vas ou on te tranche la tête ! » Il y est allé et il
s’est fait tuer. La famille de François ECOSSE a reçu, 2 mois
après, la lettre disant qu’il était mort.
Texte écrit par Timeo CACCIOTOLO
François ECOSSE
Omer
RICHARD
Je
veux vous présenter mon arrière-arrière-grand-père, il s’appelait
Omer RICHARD. Il est né le 7 septembre 1887 à Largeasse, dans les
Deux-Sèvres. Ses parents s’appelaient Théodore et Florentine Il
s’est marié le 11 mai 1907 à Rochefort avec Louise QUERE. Son
métier était boulanger. Il a eu deux filles ; l’une s’appelait
Antoinette, l’autre est morte à 4 ans d’une maladie infantile.
En
1914, à 27 ans, il est parti à la guerre comme brancardier. Il
était le numéro 18. Il n’est pas mort durant les combats.
Omer
RICHARD est revenu de la guerre, il n’a pas fait la deuxième.
Quelques années plus tard, il est mort le 5 août 1954 à Rochefort.
Texte écrit par Elsa CAMPION
Omer RICHARD
Emile
FOUSSIER
Emile
FOUSSIER, l’arrière-arrière-grand-père de Timeo, est né le 11 mai
1875 à Malicorne-sur-Sarthe. Il faisait partie du 28ème régiment
de la 1ère compagnie du Mans en octobre 1915. En 1916, il faisait
partie du régiment d’artillerie semi-automobile.
Il
habitait à Paris, dans le 11ème arrondissement, au 7 rue Pichet. Il
était commerçant et il tenait une épicerie qui faisait l’angle
avec la rue du marché Popincourt. Emile a eu une fille, Alice, et un
garçon, Roger, donc l’arrière-grand-père de Timeo.
Emile
FOUSSIER est décédé le 6 février 1922, il avait 47 ans. Il a été
foudroyé dans un champ, sur la nationale 20, à
Boissy-sous-Saint-Yon.
Texte écrit par Victor THOMAS
Emile FOUSSIER
Georges
LERISSON
Mon
arrière-arrière-grand-père est né en 1892 à Roubaix. Il était
dans l’infanterie. Georges est parti à la guerre en août 1914 et a
été libéré en juillet 1919.
Il
a reçu la médaille de la victoire, la médaille des Poilus d’Orient
et a noté sur des petits carnets sa vie dans les tranchées, depuis
la bataille de la Marne à la guerre d’Orient et son débarquement à
Salonique.
En
décembre 1914, il raconte le lendemain d’une attaque à la
mitrailleuse et à la baïonnette : « Tout le monde
tombe autour de moi, je ne sais comment j’ai pu m’en sortir… Que
va-t-il maintenant nous arriver ? On s’attend à tout car on ne
verra jamais quelque chose de plus terrible. Quel gâchis ! »
Il
souffre de la faim, du froid et de la pluie qui pourrit tout. Il
attrape des maladies comme la malaria.
Georges
fera plusieurs métiers : cuisinier, chauffeur, infirmier,
téléphoniste. Il jouait du violon.
Texte écrit par Eva SULI
Georges LERISSON
Jehan
DE LA CROIX
C’était
mon arrière-arrière-grand-oncle. Il est né le 16 juin1876 en
Charente, à Angoulême. Il avait cinq frères et une sœur. Il s’est
marié avec Antoinette de CASSE-BRISSAC et a eu deux enfants,
Marguerite et François.
Jehan
était capitaine au 11ème régiment d’infanterie. Il est mort à la
guerre, à Ypres, en 1914, à 38 ans, lors d’un repérage de
l’ennemi. Il était sous-officier.
Texte écrit par Clara O’Connor
Jehan DE LA CROIX
Auguste
LAUNAY
J’ai
l’immense honneur de vous présenter mon arrière-arrière-grand-oncle.
Sur cinq aïeux qui sont allés à la guerre, seulement deux sont
revenus.
Il
s’appelait Auguste, Alphonse, Emile LAUNAY. Il est né le 18 décembre
1895 à Flamanville dans le département de la Manche. Il était
électricien et mesurait 1 m 67.
Auguste
a été incorporé dans un régiment d’infanterie le 19 décembre
1914. Arrivé au corps, il a été soldat de 2ème classe. Il a été
blessé au bras gauche le 13 avril 1916 d’un éclat de grenade. Il
est parti le 25 juin 1916 à l’hôpital et il est revenu le 11 août.
Il a ensuite été nommé caporal le 25 juillet 1917. Mon
arrière-arrière-grand-oncle a eu son certificat de bonne conduite.
Le
23 avril 1918, il a été père de deux enfants.
A
la fin de la guerre, il a été chef d’atelier téléphonique,
toujours en tête de son équipe, réparant les lignes sous n’importe
quel bombardement. Le 23 octobre 1918, sous le feu des obus, il a
construit et entretenu une ligne coupée par un tir incessant.
Après
la guerre, il a décidé de devenir gardien de la Paix.
Texte écrit par Islana TOP
Auguste LAUNAY (2ème, en haut, en partant de la gauche)
René
FUMERON
Mon
arrière-arrière-grand-père, René FUMERON, a fait la guerre de
14-18 dans les sous-marins. Il a participé à la campagne des
Dardanelles, sous les ordres de l’amiral GUEPRATTE. La bataille des
Dardanelles était une bataille livrée par l’Angleterre et la France
contre l’empire Ottoman (Turquie) perdue par les alliés en 1916.
La
future femme de René FUMERON, mon arrière-arrière-grand-mère
Alice, a travaillé pendant la guerre à la poudrerie du Ripeau près
de Tours. Ils se sont mariés en 1916. René FUMERON a vécu 91 ans,
et Alice 89 ans.
Texte écrit par Juliette RODOT-BUFFETEAU
René et Alice FUMERON, en 1965
Charles
Alix Ernest LOUVENT
Mon
arrière-arrière-grand-père, Charles Alix Ernest LOUVENT, est né
en 1879. Il a commencé la guerre en 1914. Il a fait la bataille de
Verdun et de la Marne. Il était au 333ème régiment d’infanterie
dans les Vosges.
Il
a été deux fois gazé et plusieurs fois enseveli à cause des
bombardements. Il se battait avec une baïonnette au fort de Beaux.
Charles a eu trois médailles, il a été marqué par la guerre.
Mon
arrière-arrière-grand-père avait quatre frères dont deux ont été
tués à la guerre. L’un a été handicapé à 75 % et le dernier a
été gravement blessé. Charles a fini la guerre en 1919, il est
mort en 1959 à 79 ans. Il était fier d’avoir fait la guerre.
Texte écrit par Noélie MEUNIER
Charles Alix Ernest LOUVENT
Joseph
TEREAU
Mon aïeul s’appelait Joseph TEREAU. C’était l’oncle de mon arrière-grand-mère paternelle.
Il
appartenait au 6ème régiment d’infanterie. Au retour de la guerre,
Joseph TEREAU et son épouse ont élevé mon arrière-grand-mère
paternelle dont la mère est décédée de la grippe espagnole en
1918.
Texte écrit par Armand GOUDEAU
Joseph TEREAU (2ème rang, 1er en partant de la gauche)
Georges
GARDOUX
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. J’ai récupéré un casque
d’aviateur qui lui a appartenu ; il a été dans l’escadrille C
11.
Georges
est revenu vivant de la guerre, il est rentré dans les chemins de
fer et a conduit des locomotives à vapeur. Il s’est marié et a eu
deux enfants, un garçon qui s’appelait Henri et une fille, Yvette.
Texte écrit par Inès LEMAIRE
Arthur
François OLIVIER
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. Il est né en 1895 et a commencé
la guerre à 19 ans. Il était dans le 73ème régiment d’Infanterie.
Mon aïeul a reçu des récompenses car il était très courageux, et
il a redonné le moral aux autres soldats.
Arthur
avait une fille, Alix.
Texte écrit par Inès DURENQUE
Basile
Louis Marie MOISAN
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Basile Louis Marie MOISAN.
Son numéro était le 13-67. Il est né le 11 juin 1879 à
Pleugriffet, dans le Morbihan. Il était menuisier et savait lire,
écrire, compter.
Il
a été affecté au 89ème régiment total d’infanterie et rappelé à
l’activité par la mobilisation générale du 1er août 1914. Il est
arrivé au corps le 14 août, a été fait prisonnier à Maubeuge le
7 septembre 1914 et rapatrié le 12 décembre 1918.
Basile
a été démobilisé le 18 février 1919, il s’est retiré à
Pleugriffet.
Texte écrit par Oscar MOISAN
Michel
LACAUD
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Michel LACAUD. Il est né le
3 août 1896 à Chalus, dans la Haute-Vienne. Il était agriculteur.
Michel avait les cheveux blonds, les yeux gris-verts, le front
vertical, un visage long. Il mesurait 1 m 59.
Michel
LACAUD fut incorporé le 10 avril 1915 au 83ème régiment
d’infanterie, il combattit dans les Balkans. Il fut libéré le 21
septembre 1919.
Il
reçut plusieurs décorations pour services rendus à la nation. Il a
eu la médaille commémorative, la médaille de la victoire et la
croix du combattant.
A
sa libération, il reprit son métier d’agriculteur. Mais
régulièrement, tous les 5 ans, il dut faire des périodes
militaires de 21 jours.
Texte écrit par Léon LACAUD
la carte de combattant de Michel LACAUD
Alphonse
MARTIN
Il
s’appelait Alphonse MARTIN, c’était mon arrière-arrière-grand-père.
Il est né le 4 juillet 1883 à Saint-Sulpice-d’Arnoult. Alphonse est
mort en 1954.
Il
a été blessé et réformé car il avait des crises d’asthme après
avoir été victime du gaz moutarde.
Alphonse
a eu deux enfants qui s’appelaient Gilbert et Hélène. Ils sont
toujours en vie.
Par arrêté préfectoral du 30 octobre 2020, le port du masque devient obligatoire à moins de 50 m des entrées réservées au public des établissements scolaires, du lundi au vendredi, de 7 h 00 à 19 h 00.
Cette décision est valable jusqu’au 1er décembre 2020 inclus.