Voici quelques informations concernant les opérations de passage en 6ème pour la rentrée prochaine :
Une première fiche dite « volet 1« , nominative et comportant les informations dont nous disposons sur votre enfant vous sera transmise la semaine prochaine. Il faudra simplement vérifier les informations y figurant. Votre adresse postale déterminera le collège de secteur. Ce volet 1 sera à retourner à l’école rapidement.
Très vite ensuite, un « volet 2 » vous sera remis. Il s’agira d’indiquer si vous êtes d’accord pour que votre enfant intègre, en cas de passage en 6ème, son collège de secteur à la rentrée prochaine. Dans le cas contraire, vous devrez faire une demande de dérogation si vous souhaitez l’inscrire dans un autre collège publique. Pour une inscription dans le privé, aucune démarche particulière n’est à faire. On vous demandera également d’indiquer la langue vivante choisie (par exemple : anglais ou anglais + allemand).
A ce jour, aucune visite du collège n’est prévue. Si des changements apparaissent, vous en serez bien évidemment informés.
Le mercredi 28 avril, une intervention des bus « Yélo » est prévue sur le bon usage des transports en commun. Nous remettrons dans les prochains jours à votre enfant une demande de carte de transport. Il vous suffira, si cela est nécessaire, de la compléter, de fournir les pièces demandées et de retourner le tout à l’école. Les agents de yélo remettront alors le 28 avril sa carte de transport pour l’année prochaine à votre enfant.
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à me solliciter.
Face aux variants du Covid-19, le gouvernement a souhaité éviter un reconfinement ainsi que la fermeture des écoles. Néanmoins, un nouveau protocole sanitaire est mis en place dans les établissements scolaires.
Plus que jamais, les parents doivent s’assurer que leur enfant qui vient à l’école n’a pas de fièvre (inférieure à 38°C) ou de symptôme évocateur du COVID 19. Dans le cas contraire, ils doivent consulter un médecin qui décidera ou non de la nécessité d’un test.
Alors qu’une classe pouvait fermer à partir de trois cas de Covid-19, il suffira désormais d’un seul cas de variant anglais, qu’il s’agisse d’un élève ou même d’un professeur. S’il ne s’agit pas du variant anglais, la règle des 3 cas avérés pour que la classe ferme reste en vigueur.
Dans les classes, l’aération devra avoir lieu toutes les heures, pendant plusieurs minutes, au lieu de toutes les deux heures.
Le port du masque « grand public » de catégorie 1 est désormais obligatoire. Afin que les familles puissent acquérir de nouveaux masques respectant ces exigences, un délai est accordé jusqu’au 8 février 2021.
Nous remercions les parents de bien vérifier sur l’emballage que le masque qu’ils remettent chaque matin à leur enfant est bien de catégorie 1. Le port des masques artisanaux, faits-maison, etc… ne sera plus possible à compter du retour des vacances d’hiver, le lundi 22 février.
Ces aménagements ne bouleversent pas
l’organisation appliquée du 9 au 27 novembre.
Un seul point est modifié :
le temps d’accueil des élèves de 13 h 40 à 13 h 50.
Accueil dans la cour de 13 h
40 à 13 h 50 :
– Les deux classes qui déjeunent à
la cantine de 13 h à 13 h 30, celle de CM1/CM2 (Mme LACROIX) et
celle de CM2 (M. HEBERT et Mme LAFITTE) resteront dans la cour de 13
h 40 à 13 h 50.
– L’espace de la cour étant partagé
en 3 zones pour éviter le brassage des groupes, la dernière zone
sera occupée par la classe de CE2 (Mme BULET) les lundis et mardis,
et celle de Mme LEFEVRE (CP) les jeudis et vendredis.
Accueil dans les salles de classe
de 13 h 40 à 13 h 50 :
– Les groupes de CE1 (Mme LEPRÊTRE),
et de CE2/CM1 (Mme DELAVEAU) continueront à être accueillis dans
leurs salles de classe.
– La classe de CP (Mme LEFEVRE) sera accueillie dans sa salle les lundis et mardis et celle de CE2 (Mme BULET) les jeudis et vendredis.
Pour prendre connaissance du planning complet d’occupation de la cour pendant le temps scolaire du 30 novembre au 18 décembre, merci d’ouvrir les documents ci-dessous :
François
ECOSSE, mon arrière-arrière-grand-père, a eu deux filles, Elise et
Léonie, dont l’une est mon arrière-grand-mère. Il est né le 25
mai 1873 à Mussey-sur-Marne, il habitait à Paris dans le 11ème
arrondissement, rue du marche Popincourt. Il était employé aux
Halles de Paris.
Il
est décédé le 14 avril 1916, il avait 42 ans. François a été
blessé dans les bois d’Hermenont, puis il est décédé de ses
blessures à l’hôpital de Verdun.
Il
faisait partie du 48ème régiment d’infanterie. On lui a dit « tu
y vas ou on te tranche la tête ! » Il y est allé et il
s’est fait tuer. La famille de François ECOSSE a reçu, 2 mois
après, la lettre disant qu’il était mort.
Texte écrit par Timeo CACCIOTOLO
Omer
RICHARD
Je
veux vous présenter mon arrière-arrière-grand-père, il s’appelait
Omer RICHARD. Il est né le 7 septembre 1887 à Largeasse, dans les
Deux-Sèvres. Ses parents s’appelaient Théodore et Florentine Il
s’est marié le 11 mai 1907 à Rochefort avec Louise QUERE. Son
métier était boulanger. Il a eu deux filles ; l’une s’appelait
Antoinette, l’autre est morte à 4 ans d’une maladie infantile.
En
1914, à 27 ans, il est parti à la guerre comme brancardier. Il
était le numéro 18. Il n’est pas mort durant les combats.
Omer
RICHARD est revenu de la guerre, il n’a pas fait la deuxième.
Quelques années plus tard, il est mort le 5 août 1954 à Rochefort.
Texte écrit par Elsa CAMPION
Emile
FOUSSIER
Emile
FOUSSIER, l’arrière-arrière-grand-père de Timeo, est né le 11 mai
1875 à Malicorne-sur-Sarthe. Il faisait partie du 28ème régiment
de la 1ère compagnie du Mans en octobre 1915. En 1916, il faisait
partie du régiment d’artillerie semi-automobile.
Il
habitait à Paris, dans le 11ème arrondissement, au 7 rue Pichet. Il
était commerçant et il tenait une épicerie qui faisait l’angle
avec la rue du marché Popincourt. Emile a eu une fille, Alice, et un
garçon, Roger, donc l’arrière-grand-père de Timeo.
Emile
FOUSSIER est décédé le 6 février 1922, il avait 47 ans. Il a été
foudroyé dans un champ, sur la nationale 20, à
Boissy-sous-Saint-Yon.
Texte écrit par Victor THOMAS
Georges
LERISSON
Mon
arrière-arrière-grand-père est né en 1892 à Roubaix. Il était
dans l’infanterie. Georges est parti à la guerre en août 1914 et a
été libéré en juillet 1919.
Il
a reçu la médaille de la victoire, la médaille des Poilus d’Orient
et a noté sur des petits carnets sa vie dans les tranchées, depuis
la bataille de la Marne à la guerre d’Orient et son débarquement à
Salonique.
En
décembre 1914, il raconte le lendemain d’une attaque à la
mitrailleuse et à la baïonnette : « Tout le monde
tombe autour de moi, je ne sais comment j’ai pu m’en sortir… Que
va-t-il maintenant nous arriver ? On s’attend à tout car on ne
verra jamais quelque chose de plus terrible. Quel gâchis ! »
Il
souffre de la faim, du froid et de la pluie qui pourrit tout. Il
attrape des maladies comme la malaria.
Georges
fera plusieurs métiers : cuisinier, chauffeur, infirmier,
téléphoniste. Il jouait du violon.
Texte écrit par Eva SULI
Jehan
DE LA CROIX
C’était
mon arrière-arrière-grand-oncle. Il est né le 16 juin1876 en
Charente, à Angoulême. Il avait cinq frères et une sœur. Il s’est
marié avec Antoinette de CASSE-BRISSAC et a eu deux enfants,
Marguerite et François.
Jehan
était capitaine au 11ème régiment d’infanterie. Il est mort à la
guerre, à Ypres, en 1914, à 38 ans, lors d’un repérage de
l’ennemi. Il était sous-officier.
Texte écrit par Clara O’Connor
Auguste
LAUNAY
J’ai
l’immense honneur de vous présenter mon arrière-arrière-grand-oncle.
Sur cinq aïeux qui sont allés à la guerre, seulement deux sont
revenus.
Il
s’appelait Auguste, Alphonse, Emile LAUNAY. Il est né le 18 décembre
1895 à Flamanville dans le département de la Manche. Il était
électricien et mesurait 1 m 67.
Auguste
a été incorporé dans un régiment d’infanterie le 19 décembre
1914. Arrivé au corps, il a été soldat de 2ème classe. Il a été
blessé au bras gauche le 13 avril 1916 d’un éclat de grenade. Il
est parti le 25 juin 1916 à l’hôpital et il est revenu le 11 août.
Il a ensuite été nommé caporal le 25 juillet 1917. Mon
arrière-arrière-grand-oncle a eu son certificat de bonne conduite.
Le
23 avril 1918, il a été père de deux enfants.
A
la fin de la guerre, il a été chef d’atelier téléphonique,
toujours en tête de son équipe, réparant les lignes sous n’importe
quel bombardement. Le 23 octobre 1918, sous le feu des obus, il a
construit et entretenu une ligne coupée par un tir incessant.
Après
la guerre, il a décidé de devenir gardien de la Paix.
Texte écrit par Islana TOP
René
FUMERON
Mon
arrière-arrière-grand-père, René FUMERON, a fait la guerre de
14-18 dans les sous-marins. Il a participé à la campagne des
Dardanelles, sous les ordres de l’amiral GUEPRATTE. La bataille des
Dardanelles était une bataille livrée par l’Angleterre et la France
contre l’empire Ottoman (Turquie) perdue par les alliés en 1916.
La
future femme de René FUMERON, mon arrière-arrière-grand-mère
Alice, a travaillé pendant la guerre à la poudrerie du Ripeau près
de Tours. Ils se sont mariés en 1916. René FUMERON a vécu 91 ans,
et Alice 89 ans.
Texte écrit par Juliette RODOT-BUFFETEAU
Charles
Alix Ernest LOUVENT
Mon
arrière-arrière-grand-père, Charles Alix Ernest LOUVENT, est né
en 1879. Il a commencé la guerre en 1914. Il a fait la bataille de
Verdun et de la Marne. Il était au 333ème régiment d’infanterie
dans les Vosges.
Il
a été deux fois gazé et plusieurs fois enseveli à cause des
bombardements. Il se battait avec une baïonnette au fort de Beaux.
Charles a eu trois médailles, il a été marqué par la guerre.
Mon
arrière-arrière-grand-père avait quatre frères dont deux ont été
tués à la guerre. L’un a été handicapé à 75 % et le dernier a
été gravement blessé. Charles a fini la guerre en 1919, il est
mort en 1959 à 79 ans. Il était fier d’avoir fait la guerre.
Texte écrit par Noélie MEUNIER
Joseph
TEREAU
Mon aïeul s’appelait Joseph TEREAU. C’était l’oncle de mon arrière-grand-mère paternelle.
Il
appartenait au 6ème régiment d’infanterie. Au retour de la guerre,
Joseph TEREAU et son épouse ont élevé mon arrière-grand-mère
paternelle dont la mère est décédée de la grippe espagnole en
1918.
Texte écrit par Armand GOUDEAU
Georges
GARDOUX
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. J’ai récupéré un casque
d’aviateur qui lui a appartenu ; il a été dans l’escadrille C
11.
Georges
est revenu vivant de la guerre, il est rentré dans les chemins de
fer et a conduit des locomotives à vapeur. Il s’est marié et a eu
deux enfants, un garçon qui s’appelait Henri et une fille, Yvette.
Texte écrit par Inès LEMAIRE
Arthur
François OLIVIER
C’était
mon arrière-arrière-grand-père. Il est né en 1895 et a commencé
la guerre à 19 ans. Il était dans le 73ème régiment d’Infanterie.
Mon aïeul a reçu des récompenses car il était très courageux, et
il a redonné le moral aux autres soldats.
Arthur
avait une fille, Alix.
Texte écrit par Inès DURENQUE
Basile
Louis Marie MOISAN
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Basile Louis Marie MOISAN.
Son numéro était le 13-67. Il est né le 11 juin 1879 à
Pleugriffet, dans le Morbihan. Il était menuisier et savait lire,
écrire, compter.
Il
a été affecté au 89ème régiment total d’infanterie et rappelé à
l’activité par la mobilisation générale du 1er août 1914. Il est
arrivé au corps le 14 août, a été fait prisonnier à Maubeuge le
7 septembre 1914 et rapatrié le 12 décembre 1918.
Basile
a été démobilisé le 18 février 1919, il s’est retiré à
Pleugriffet.
Texte écrit par Oscar MOISAN
Michel
LACAUD
Mon
arrière-arrière-grand-père s’appelait Michel LACAUD. Il est né le
3 août 1896 à Chalus, dans la Haute-Vienne. Il était agriculteur.
Michel avait les cheveux blonds, les yeux gris-verts, le front
vertical, un visage long. Il mesurait 1 m 59.
Michel
LACAUD fut incorporé le 10 avril 1915 au 83ème régiment
d’infanterie, il combattit dans les Balkans. Il fut libéré le 21
septembre 1919.
Il
reçut plusieurs décorations pour services rendus à la nation. Il a
eu la médaille commémorative, la médaille de la victoire et la
croix du combattant.
A
sa libération, il reprit son métier d’agriculteur. Mais
régulièrement, tous les 5 ans, il dut faire des périodes
militaires de 21 jours.
Texte écrit par Léon LACAUD
Alphonse
MARTIN
Il
s’appelait Alphonse MARTIN, c’était mon arrière-arrière-grand-père.
Il est né le 4 juillet 1883 à Saint-Sulpice-d’Arnoult. Alphonse est
mort en 1954.
Il
a été blessé et réformé car il avait des crises d’asthme après
avoir été victime du gaz moutarde.
Alphonse
a eu deux enfants qui s’appelaient Gilbert et Hélène. Ils sont
toujours en vie.
Par arrêté préfectoral du 30 octobre 2020, le port du masque devient obligatoire à moins de 50 m des entrées réservées au public des établissements scolaires, du lundi au vendredi, de 7 h 00 à 19 h 00.
Cette décision est valable jusqu’au 1er décembre 2020 inclus.
Le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports a publié le protocole sanitaire servant de cadre aux établissements scolaires et aux collectivités territoriales à partir de la rentrée des vacances de la Toussaint. Il renforce les mesures existantes déjà. Vous pouvez en prendre connaissance en le téléchargeant ci-dessous :
Vous trouverez ci-après les points essentiels que vous devez connaître :
Accès des élèves et des accompagnateurs à l’école (inchangé) :
Les parents sont invités à prendre la température de leur enfant avant le départ pour l’école. Ils s’engagent à ne pas mettre leurs enfants à l’école, en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez l’élève ou dans sa famille.
De même, les élèves ayant été testés positivement au SARSCov2, ou dont un membre du foyer a été testé positivement, ou encore identifiés comme contact à risque ne doivent pas se rendre dans l’école ou l’établissement scolaire. Ils en informent le directeur de l’école.
L’accès des accompagnateurs aux bâtiments scolaires doit se limiter au strict nécessaire et se faire après nettoyage et désinfection des mains. Les accompagnateurs doivent porter un masque et respecter une distanciation physique d’au moins un mètre.
Règles de distanciation physiques :
Dans les écoles élémentaires les collèges, et les lycées, le principe est la distanciation physique d’au moins un mètre lorsqu’elle est matériellement possible, dans les espaces clos (dont la salle de classe), entre l’enseignant et les élèves ainsi qu’entre les élèves quand ils sont côte à côte ou face à face… Si la configuration des salles de classe (surface, mobilier, etc.) ne permet absolument pas de respecter la distanciation physique d’au moins un mètre, alors l’espace est organisé de manière à maintenir la plus grande distance possible entre les élèves.
La distanciation physique ne s’applique pas dans les espaces extérieurs entre élèves d’une même classe ou d’un même groupe, y compris pour les activités sportives.
La distanciation physique doit être maintenue, dans tous les cas, entre les élèves de groupes différents (classes, groupes de classes ou niveaux).
L’application des gestes barrières :
Rappels : se laver très régulièrement les mains ; tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir ; utiliser un mouchoir à usage unique et le jeter ; saluer sans se serrer la main ou s’embasser.
Le lavage des mains doit être réalisé, a minima : à l’arrivée dans l’école ; avant et après chaque repas ; avant et après les récréations ; après être allé aux toilettes ; le soir avant de rentrer chez soi ou dès l’arrivée au domicile.
Le lavage des mains aux lavabos peut se réaliser sans mesure de distance physique entre les élèves d’une même classe ou d’un même groupe.
Port du masque « grand public » pour les élèves : il est obligatoire dans les espaces clos ainsi que dans les espaces extérieurs. Le masque est fourni par les parents.
Ventilation des classes et autres locaux : elle est la plus fréquente possible et dure au moins 15 minutes à chaque fois. Les salles de classe ainsi que tous les autres locaux occupés pendant la journée sont aérés le matin avant l’arrivée des élèves, pendant les intercours, pendant chaque récréation, au moment du déjeuner (en l’absence de personnes) et pendant le nettoyage des locaux. Cette aération doit avoir lieu au minimum toutes les 2 heures.
La limitation du brassage entre les élèves :
Elle est requise entre élèves de groupes différents.
Le déroulement de la journée et des activités scolaires est organisé pour limiter les croisements entre élèves de groupes différents (classe, groupes de classes ou niveau).
la circulation des élèves dans l’école est limitée, organisée et encadrée.
les récréations sont organisées par groupes, en tenant compte des recommandations relatives aux gestes barrières ; en cas de difficulté d’organisation, elles peuvent être remplacées par des temps de pause en classe.
la semaine du 2 au 6 novembre doit permettre d’opérer des aménagements complémentaires pour une application effective à partir du lundi 9 novembre. Il sera étudié notamment s’il est opportun de décaler à nouveau l’arrivée et le départ des élèves dans l’établissement (cette mesure apliquée à la fin de l’année scolaire dernière n’avait pas été reconduite à la rentrée car beaucoup trop de familles ne respectaient pas les horaires décalés ce qui favorisait les rassemblements devant l’école).
la restauration scolaire peut être organisée dans les lieux habituels. Lorsque le respect de la distance d’un mètre entre élèves est matériellement impossible, il convient de faire déjeuner les élèves d’un même groupe (classe, groupes de classe ou niveau) ensemble et dans la mesure du possible, toujours à la même table. Une distance d’au moins un mètre est respectée entre les groupes.
Nettoyage et désinfection des locaux et du matériel
Un nettoyage des sols et des grandes surfaces (tables, bureaux) est réalisé au minimum une fois par jour.
Un nettoyage désinfectant des surfaces les plus fréquemment touchées par les élèves et personnels dans les salles, ateliers et autres espaces communs (comme les poignées de portes) est réalisé plusieurs fois par jour.
Les tables du réfectoire sont nettoyées et désinfectées après chaque service.
L’accès aux jeux, aux bancs et espaces collectifs extérieurs est autorisé si un nettoyage quotidien est assuré (ou après une période sans utilisation d’environ 12 heures).
La mise à disposition d’objets partagés au sein d’une même classe ou d’un même groupe constitué (ballons, jouets, livres, jeux, journaux, dépliants réutilisables, crayons, etc.) est permise à l’intérieur des locaux lorsqu’une désinfection au minimum quotidienne est assurée (ou que les objets sont isolés 24 h avant réutilisation).
Notre pays, nos écoles, doivent faire face à deux situations d’urgence :
la menace terroriste avec l’assassinat du professeur d’Histoire-Géographie Samuel PATY le vendredi 16 octobre et ce matin les attentats commis à Nice et Avignon ;
la reprise de la pandémie de COVID 19.
Concernant le travail qui doit être fait avec les élèves dès ce lundi matin au sujet de l’attentat du 16 octobre et qui sera l’occasion d’expliciter les notions de laïcité, de liberté d’expression et les valeurs de notre République dans les classes, vous trouverez ci-dessous un courrier de Mme la rectrice à votre intention. Attention ! Contrairement à ce qui est indiqué, l’école ouvrira bien dès 8 h 30 aux élèves pour un début de classe à partir de 8 h 40, comme d’habitude (décision du ministre ce vendredi soir).
Au sujet des mesures annoncées en raison de la reprise de l’épidémie de COVID 19, un certrain nombre de points sont encore à préciser, ils devraient être connus dans les prochaines heures. Il s’agit notamment du protocole sanitaire qui devrait être renforcé. Il est fortement question en outre de rendre le masque obligatoire pour les élèves à partir de 6 ans (vous pouvez donc d’ores et déjà en prévoir pour votre enfant). Malgré le confinement qui touchera la France à partir de minuit, les écoles resteront ouvertes et la scolarisation des élèves sera obligatoire.
Un prochain point d’information vous sera fait sur le blog d’ici à dimanche, lorsque des précisions seront apportées sur des points encore flous.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes meilleures salutations.